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Quand le basketball rentre au bercail

Chroniqueur Michel Bouchard
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Retour sur la saison de rêve des Raptors de Toronto

C’est en 1891 que James Naismith, un professeur d’éducation physique natif du Canada qui enseignait au collège de Springfield, dans le Massachusetts, a inventé la première version du sport aujourd’hui mondialement connu sous le nom de basketball. C’est donc un Canadien qui a eu l’honneur d’inventer un des sports les plus prisés au pays de l’oncle Sam, bonsoir le chauvinisme.

Si le sport a connu une croissance fulgurante au fil des années, on peut dire que c’est surtout chez nos voisins du Sud qu’il a pris son essor. En fait, sur 31 équipes, une seule n’évolue pas à l’intérieur des frontières de la nation de Donald Trump et ce club, c’est les Raptors de Toronto. Il faut cependant indiquer que la ville de Vancouver a déjà eu son équipe. Or, ce ne fut là qu’un bref passage qui s’est étalé de 1995 à 2001, pour ensuite vivre un déménagement vers le Tennessee. Les Américains se disaient sans doute que ce sport n’avait pas tellement sa place chez Chrétien.

En somme, les Raptors sont devenus par la force des choses « l’équipe du Canada ». Avant la fabuleuse saison 2018-2019 des Raptors, l’équipe connaissait un certain succès dans la ville Reine, mais la concession ne faisait pas l’objet d’une couverture médiatique soutenue s’étendant d’un océan à l’autre, loin de là. On en parlait en Ontario, mais peu ailleurs. Au Québec, à vrai dire, on n’y voyait guère plus que des manchettes secondaires dans les journaux et sur les sites de sports généralistes. En fait, dans la Belle Province, pas le restaurant là, à part pour les fans finis de basket, les gens n’en avaient encore et toujours que pour l’équipe sur patins en trois couleurs.

(Lire l’article complet dans l’édition #165 août/septembre 2019 – www.boutiquesummum.com)

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