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Comment péter une «balloune» en restant sobre

Chroniqueur Jo Côté
Photographe Jean-François Gravel
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Grandir à Québec, ça vient avec la culture du char. Pas parce qu’on est tous douchebag, mais parce qu’on n’a pas vraiment le choix. Le transport en commun est à se « gunner » dans tête. J’aime mieux passer 1 heure dans le trafic que de passer 2 heures entre quelqu’un qui sent le swing pis quelqu’un qui se parle tout seul. Surtout quand le gars qui se parle seul, c’est le chauffeur.

Crédit photo : Jean-François Gravel

De toute manière, c’est juste essentiel un char à Québec parce que même quand t’es en ville, t’es un peu en région sauf qu’il n’y a pas de rang pour rentrer saoul au volant. Pis ça prend ben des véhicules pour faire du trafic sur le troisième lien pis pour bloquer le tramway, sinon les radios n’auraient plus rien à dire.

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