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Légende: Samuel L. Jackson

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Quand on parle de Samuel L Jackson, on pense tout de suite à… À Samuel L. Jackson. C’est un peu normal, c’est lui. Cet acteur charismatique joue plus souvent qu’autrement les seconds violons dans des films à gros budgets, un peu à la manière de John Malkovich. Jackson a réussi à s’établir comme une icône et à marquer son époque comme comédien dans des productions blockbuster. C’est pour cela qu’il mérite amplement le titre de LÉGENDE.

Né en décembre 1948, Samuel L. Jackson a l’air d’avoir 47 ans depuis maintenant cinq décennies, même s’il aura bientôt 72 ans.

À la base SLJ avait comme objectif de vie de devenir un biologiste marin. Quelle perte ça aurait été pour les cinéphiles. Mais quel grand pas ça aurait représenté pour la biodiversité dans le fond de nos océans.

Samuel L Jackson a joué dans plus d’une centaine de films au fil de son illustre carrière. Après un passage sur les planches, il n’a connu la gloire qu’à l’aube de la quarantaine. Il a joué dans plusieurs franchises de films : Star Wars, Die Hard, Jurassic Park et dans le MCU (les films de Marvel).

Une des raisons qui plaide en faveur de Samuel L. Jackson à titre de légende ? Tout simplement parce qu’il est excellent. Mais en prime, il a maintenant dépassé Harrison Ford au tout premier rang pour les sommes totales au box-office des films dans lesquels il a joué. Le palmarès des films de Samuel dépasse les 6 milliards de dollars $.  

Un acteur connu de la trempe de SLJ peut avoir son lot d’offres alléchantes au sujet de potentielles conquêtes féminines. Il appert que l’ami Sam est l’homme d’une seule femme. LaTanya Richardson, qu’il a rencontrée à l’école en 1974 et mariée en 1980, est toujours celle avec qui il partage sa vie.  

Beaucoup d’acteurs affirment ne pas regarder les films dans lesquels ils apparaissent. Sam, lui, va les voir au cinéma et il collectionne les figurines de lui-même dans les différents rôles qui ont mené à des produits dérivés. Pourquoi avoir honte quand on peut être fier ? Assume comme Sam, motherfucker !

Parlant de ça, il est tellement bon pour dire « motherfucker » que Tarantino lui a fait répéter à profusion dans les six films sur lesquels ils ont travaillé de concert.

C’est pour son rôle de Jules Winnfield dans Pulp Fiction que Jackson est devenu une vedette mondiale. Quentin Tarantino avait d’ailleurs écrit le scénario pour Jackson.

Dans le film Django déchaîné, encore de Quentin Tarantino, l’acteur Leonardo DiCaprio avait de la difficulté à lancer les répliques racistes écrites par le réalisateur. Il a fallu que Samuel s’en mêle et dise à DiCaprio d’arrêter de s’en faire avec ça et que pour un noir, c’était la normalité d’entendre de telles insanités et donc de ne pas mélanger le rôle avec l’individu. Léo a pu retrouver ses moyens et a livré une performance grandiose.

Samuel L. Jackson assume sa calvitie depuis toujours. Les greffes, c’est pour Réjean Tremblay, pas pour Sam.

Il a tellement été apprécié pour son rôle dans Jungle Fever (1991) que le Festival de Cannes lui a remis une Palme pour son rôle de soutien. Toutefois, cette Palme n’existe pas vraiment, mais sa performance a été tellement étincelante qu’on a créé le prix spécialement pour lui.

SLJ est un fan fini de Star Wars. Il tenait à y jouer un rôle si un jour l’occasion s’y présentait. N’importe quel rôle. On lui a offert celui de Mace Windu dans The Phantom Menace. On ne peut pas dire qu’il crève l’écran. Peut-être aurait-on dû lui confier le rôle de Jar Jar Binks, le film aurait été moins imbuvable. Je dis ça, je dis rien.

En plus de jouer un Jedi, Jackson a demandé à George Lucas d’avoir un sabre laser mauve. Lucas a répliqué que les sabres laser ne pouvaient être que verts ou rouges. Réplique dont SLJ se foutait éperdument. Il a eu son sabre mauve. Parce que c’est ce qu’il voulait. Point à la ligne.

Si on voit souvent des gens crier à l’injustice raciale, avec raison, quand des acteurs blancs obtiennent des rôles de personnages supposés être originalement d’une autre race, un peu comme dans Prince of Persia avec Jake Gyllenhaal par exemple, Jackson, lui, a obtenu le rôle de Nick Fury dans le MCU… Dans les bandes dessinées, Fury est pourtant un caucasien. Mais la race n’est pas une barrière pour Sam. Chapeau !  

Samuel L. Jackson est un militant de l’égalité raciale. Il a même été membre du Black Power Movement dans sa jeunesse.

Dans Les Incroyable, sorti en 2004, c’est Jackson qui fait la voix de Frozone, ce héros qui surfe sur la glace qu’il crée devant lui. Il est né pour jouer un héros.

Quand il a reçu le script de Snakes on a Plane, il a tout de suite accepté le rôle, uniquement parce que le titre lui plaisait. C’est un vrai, lui ! Il se fie à son instinct, pas à des scénarios. On aime ça de même.

Sam est tout un joueur de golf. Il exige même dans ses contrats que les tournages aient lieu à proximité d’un club et fait ajouter une clause selon laquelle il a le loisir de jouer deux jours par semaine au minimum pendant la production.

Comme plusieurs acteurs à succès, Sam a eu son lot de problèmes d’addictions à l’alcool et la drogue. Un passage quasi obligé il faut croire. Après quelques overdoses, il est entré en cure puis a pu revenir en force, et c’est grâce à sa résilience qu’il est aujourd’hui une véritable… LÉGENDE.

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