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Baywatch : Une saga en maillot rouge pleine de rebondissements (et de ralentis)

Chroniqueur Alexandre Goulet
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Dans le monde merveilleux de la télévision, il existe des séries cultes qui marquent les esprits. Mais Baywatch? Ah, Baywatch, c’est bien plus qu’une série. C’est une légende en maillot de bain échancré, un chef-d’œuvre kitsch des années 90 qui a conquis le monde à coup de vagues, de drames improbables et de ralentis qui n’en finissent jamais. Alors attachez bien votre bouée de sauvetage, on plonge dans l’histoire de cette série emblématique.

Naissance d’un phénomène : Des débuts qui sentent le sable mouillé

Tout commence en 1989. David Hasselhoff, déjà connu pour avoir conduit une voiture qui parle (KITT forever!), décide de troquer son blouson en cuir contre… eh bien, pas grand-chose. L’idée? Une série sur des sauveteurs en mer de Los Angeles, ces héros méconnus qui passent leur vie à sauver des gens en criant : « Stay calm! » Avec son maillot rouge moulant et son torse luisant, Mitch Buchannon, joué par Hasselhoff lui-même, devient le chef de cette équipe de baywatchers, alias les Avengers des plages.

Le pilote débarque sur NBC, et… flop. Oui, Baywatch échoue lamentablement. La chaîne enterre la série après une saison, laissant Mitch, ses cheveux gominés et ses collègues sur la touche. Mais, comme toute bonne histoire hollywoodienne, il y a toujours un rebondissement : Hasselhoff, tel un héros grec au torse huilé, refuse d’abandonner. Il rachète les droits, trouve des investisseurs (probablement des fans de ralentis) et relance la série en syndication. Et là, miracle : Baywatch devient un phénomène planétaire. Qui aurait cru que le monde avait autant besoin de voir des gens courir au ralenti sur une plage?

La recette du succès : Du drame, du soleil et beaucoup, beaucoup de ralentis

Mais qu’est-ce qui a fait le succès de Baywatch? Ah, cher lecteur, il y a une formule magique derrière tout ça. Prenez un cadre idyllique : la plage, le soleil californien, des vagues majestueuses. Ajoutez-y des personnages au charisme inversement proportionnel à leurs dialogues. Saupoudrez de drames absurdes : attaques de requins, tempêtes soudaines, plongeons héroïques dans des vagues de deux mètres (oui, deux mètres, c’est suffisant pour faire un épisode entier). Enfin et, surtout, saupoudrez le tout d’une bonne dose de ralentis. Parce que pourquoi courir normalement quand on peut avoir l’air épique en « slow motion »?

Et, bien sûr, comment parler de Baywatch sans évoquer ses maillots rouges? C’est simple : si tu fais partie de l’équipe Baywatch, tu as ton uniforme de sauvetage sexy. Peu importe la météo ou la gravité de la situation, un maillot échancré et une bouée suffisent pour sauver des vies. Le réalisme? Connaît pas.

Pssst… Tu pourras lire l'article complet le : 5.06.2025 !
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