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Les clichés en horreur – course, maisons hantées et clin d’œil de retour !

Chroniqueur Alexandre Goulet
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Ah, tiens! Une cassette VHS qui sort de nulle part… On devrait la mettre dans le lecteur et voir ce qu’il en retourne, un soir de lune alors que c’est le fameux vendredi 13 du mois, que c’est le chaos dehors et que je suis seule à la maison. Ou encore une soirée d’Halloween où, dans un méchant bon flash, un de tes amis décide de sortir le jeu Ouija. Des clichés dans les films d’horreur, il y en a pour les fous pis les fins et on a décidé de les compiler pour vous montrer à quel point ça peut tourner au ridicule quand on regarde ça en plein jour, un mardi 4 ben normal et qu’il fait super beau dehors. Par ici la sortie!

1. La sexualité

N’importe qui ayant déjà moindrement regardé des films d’horreur sait que sexualité rime souvent avec mortalité. En effet, le cinéma d’horreur entretient une drôle de relation avec le sexe. Dans les films de type « slasher », une scène de rapprochement entre deux personnes est souvent suivie de la mort desdites personnes (voir les films Halloween, les Friday the 13th ou encore la série des A Nightmare on Elm Street). La scène est classique : deux jeunes tourtereaux s’apprêtent à faire leurs ébats et hop – un maniaque au couteau coupe (!) les envies… On parle ici de « coït interrompu » à proprement dit!

2. Les maisons hantées

Grands lieux de frayeurs classiques, les maisons hantées ont à elles-mêmes leur lot de clichés. Portes grinçantes, fenêtres battantes, sonnette d’entrée inquiétante, ambiance poussiéreuse sont synonymes de sursauts assurés. Si une maison hantée avait une fiche chez un courtier immobilier, on pourrait sûrement y lire : « Maison ancestrale avec beaucoup de cachet. Nécessite quelques réparations, mais a un grand potentiel. Peut contenir diverses formes de spectres. »

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3. Les retours

Quand vous pensiez que tout était finalement fini, il fait son grand retour dans un éclat de cris et d’hémoglobine… pour être finalement tué et revenir dans le prochain volet! Nous ne commencerons pas énumérer tous les films qui ont utilisé cette technique vieille comme le monde, mais elle permet de faire un bon sursaut final. Souvent, ce dernier ouvrira la porte à une suite pour une prochaine histoire… chose qui est aussi très peu surprenante. On se rappellera du fameux clin d’œil de Freddy à la fin de Jason vs Freddy – du grand cinéma!

4. Les cachettes

La porte d’entrée. Une grande oubliée des solutions pour s’enfuir d’un tueur furieux. La sortie serait si simple à prendre mais pourquoi ne pas monter les escaliers à quatre pattes en criant ? Ensuite il faut aussi penser à toutes ces cachettes surutilisées telles que les garde-robes, les dessous de lit, le cabanon obscur dans le fond d’un champ encore plus obscur ou encore s’enfuir directement dans une forêt en pleine nuit.

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5. Les reflets

Chose inévitable, la fenêtre ou le miroir qui est présent dans une scène de film d’horreur va inévitablement montrer le reflet de l’objet du frisson à un moment ou à un autre. Une façon de faire sursauter l’auditoire des plus classiques. Le film qui a mis le « reflet dans le miroir » dans les annales est assurément Candyman, où l’incantation du spectre meurtrier se faisait via celui-ci.

6. Chacun pour soi!

Le plus grand classique, la pierre angulaire de tous films d’horreur de type « slasher ». Quand la situation devient critique, rien de mieux que de se séparer en plusieurs petits groupes pour couvrir plus de terrain. Rien de mieux aussi pour être une proie facile! Il s’agit tellement d’un classique qu’il serait difficile de nommer un film d’horreur n’ayant pas eu recours à cette technique. D’Alien à Halloween, en passant par The Hills Have Eyes, c’est une formule récurrente du genre horrifique.

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7. Girl Power!

Faut pas se faire de cachette, la gent féminine a un atout pour survivre dans les films d’horreur. Lequel ? Eh bien, celui de penser avec sa tête et non avec ses bras! Simple comme ça. On se rappellera de Ripley dans Alien, de Sydney Prescott dans Scream ou de Laurie Strode dans Halloween. Bien que les réalisateurs soient souvent pointés du doigt pour misogynie parce qu’ils montrent des femmes qui semblent complètement dépourvues de moyens, n’oublions pas toutes celles « bad ass » qui ont réussi à rester en vie également.  

8. S’enfuir

Il faudra essayer de comprendre pourquoi la grande majorité des ceux tentant de fuir finissent toujours par trébucher et terminent leur course en rampant sans même essayer de revenir sur leurs pieds… C’est récurrent, une fuite doit impérativement se clore par une chute et une longue et pénible scène de la victime qui rampe vers une mort atroce et pleine de souffrance s’ensuit… On sait tous, à la base, que ramper est beaucoup plus rapide que courir… Une évidence même!

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9. « Les gens étranges »

Un propriétaire de garage douteux? Des enfants aux regards vides vous regardant fixement? Toujours se méfier de tous ceux qui semblent moindrement louches. C’est une règle de base.

10. « Les gens de confiance. »

A l’inverse, trop faire confiance à vos amis ou à de purs inconnus peut certainement nuire. Qu’on parle d’un ami d’enfance revenu dans le décor après une absence prolongée alors que son retour est un peu « weird » dans les circonstances, ou d’un gars un peu trop parfait qui vient de changer d’école secondaire ou qui arrive dans le village le plus perdu des États-Unis… ces gens en qui les personnages font automatiquement confiance ont le « target » sur eux… du moins, jusqu’à la toute fin quand ils enlèvent leur masque et qu’on découvre leur réelle identité!

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