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EN SOUVENIR DE MARYSE

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SUMMUM fête ses 20 ans dans l’agrément et la béatitude de vous avoir fait découvrir, au fil de ces merveilleuses années, un char pis une barge de choses fascinantes, parfois curieuses et souvent rocambolesques. Un magazine conçu avec amour pour vous messieurs, avec audace aussi, dans le but de vous inspirer à rire comme des fous, à rêver de l’impossible, à partir à l’aventure, à manger comme du monde et, finalement, à croquer pleinement dans ces belles pommes juteuses que la vie nous donne. Et, bien sûr, de vous inspirer aussi à… t’sais… vous savez… « Wink-wink! » Car, oui, un de nos plaisirs les plus chers et totalement assumés est de vous présenter à découvrir de magnifiques créatures de rêve à peine couvertes, mais le tout toujours fait avec bon goût… « Sweet and spicy », comme on dit. 

Aujourd’hui, en guise de clin d’œil coquin, on aimerait revenir en arrière, donner un bon grand coup de chapeau et rendre hommage à celle qui a été élue, jadis, mais qui est pour toujours tatouée dans nos cœurs, nulle autre que la muse de SUMMUM. Oui, monsieur!

C’était en 2013, à une époque où nous étions encore tous jeunes et fringants et que nous nous apprêtions à célébrer notre 10e anniversaire avec des plumes pis des paillettes. Nous avions alors eu une idée de génie et décidé, pour l’occasion, de faire un sondage afin de savoir qui serait cette crémeuse qui allait remonter à la surface, au-dessus de la mêlée, parmi toutes les superbes demoiselles qui avaient fait notre frontispice depuis les débuts du magazine. Après avoir comptabilisé plusieurs « shoots » et un nombre impressionnant de plus de 20 000 votes, c’est avec une excitation à peine camouflée dans nos jeans et un débordement de joie sans précédent que nous avions donné le titre à nulle autre que la phénoménale, la plantureuse et truculente, Maryse Ouellet, mannequin et ex-championne lutteuse de la WWE.

De toute évidence, Maryse s’était lancée de la troisième corde et était tombée directement dans l’œil de nos lecteurs. Et comment donc! Bien sûr que ça s’explique et pas besoin d’être Freud pour comprendre tout l’attrait et le potentiel fantasmagorique d’une femme aussi impressionnante. 

Un 5’8’’ bien senti, blonde, farouche et sensuelle, avec des seins atomiques et des jambes comme deux échelles de Jacob pour monter au ciel avec la promesse de vous rendre fous rendus en haut! 

QUI EST-ELLE, D’OÙ VIENT ELLE?

D’où vient cette déesse québécoise qui a su gravir les échelons de la lutte professionnelle, allant jusqu’à remporter plusieurs ceintures, dont deux fois le titre de Divas Champion de la WWE?

Née à Montréal en 1983 d’un père et d’une mère, Maryse est une enfant mystérieuse, dans le sens qu’on ne sait pas vraiment comment elle était enfant et, de toute façon, ce n’est pas de ça qu’on veut parler. En plus, sa famille et elle ont déménagé au Nouveau-Brunswick et tout le monde sait que c’est très mystérieux le Nouveau-Brunswick. En revanche, on sait qu’elle a toujours été sportive et pratiquait plusieurs sports dès l’adolescence. Elle pratiquait les arts martiaux, l’athlétisme et elle aurait même été sauveteuse. Le petit gars de 14 ans en nous irait bien se noyer. Sans doute un métier qu’elle aurait pu poursuivre, faut avouer qu’elle aurait eu le casting parfait pour jouer dans Baywatch. 

Avec son profil, elle se fait rapidement remarquer dans le mannequinat, et ce, dès 2003, en gagnant le concours Miss Hawaiien Tropic Canada. Elle finit également deuxième dans les finales du volet international de la compétition en 2004.

C’est en 2006 qu’elle entreprend son ascension dans le monde de la lutte en participant d’abord à la compétition Diva Search de la WWE. Malgré son élimination rapide, et voyant son débordant potentiel, elle signera un contrat pour aller se perfectionner au centre de développement de WWE, soit la Ohio Valley Wrestling (OVW) à Louisville, Kentucky. Louisville ne sera plus jamais la même. 

Ça ne prendra pas très longtemps à notre sulfureuse Québécoise pour gravir les échelons de la plus prestigieuse ligue de lutte professionnelle au monde. Dès 2009, elle capture le premier de plusieurs titres à venir. En plus de devenir championne des Divas lors de son premier match pour le titre, notre magnifique combattante l’a ensuite défendu avec succès pendant 209 jours en un seul règne, un record à ce moment et encore aujourd’hui l’un des plus longs règnes de l’histoire du championnat. Il en est de même avec son titre par équipe, que sa partenaire Lacey Von Erich et elle, avec leur team Sexy, ont gardé farouchement pendant 368 jours. 

UNE SIGNATURE QUI EN DIT LONG

Elle fait des ravages dans la compétition à coup de déhanchement, de coups de la corde à linge et bien sûr avec son geste signature, le fameux DDT French Kiss. Surtout, c’est son sens du spectacle qui impressionne et sa capacité à faire monter d’un cran l’intensité dans la place. Elle joue la méchante, la « heel » comme on dit dans le métier, à la perfection et, bientôt, une relation amour/haine/désir s’établit entre elle et le public. On aime l’haïr mais, en même temps, on y pense avant de s’endormir.  

Son passage phénoménal, telle une étoile filante dans la stratosphère de la WWE, entre 2009 et 2015, lui permet de devenir l’une des figures les plus dominantes de son époque dans la lutte féminine. Elle est d’ailleurs intronisée au temple de la renommée de la WWE à la suite de son retrait de la compétition.

UN HONNEUR POUR NOUS

C’est en 2010, en pleine ascension vers la gloire, que Maryse nous faisait l’honneur d’apparaître dans nos pages. Le photographe, l’éditeur en chef, le directeur artistique, en fait toute l’équipe du magazine au grand complet, jusqu’au magazine lui-même et ses lecteurs, n’ont plus jamais été les mêmes, tous ensorcelés par le « gloss » de sa peau de bronze et le flash de son sourire envoûtant. Faut dire qu’à peine quelques semaines avant, elle nous avait mis en appétit avec une apparition remarquée dans le mythique Playboy, l’édition de juin 2010. Allez voir ça, vous comprendrez que c’est tout qu’un « appetizer »!

Aujourd’hui, nous te saluons Maryse, reine d’entre toutes celles qui nous ont inspirés. Tu seras toujours la première muse de SUMMUM. « The Original! »

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