C’était ma fête le 20 janvier dernier. Est-ce que j’ai eu un gros party sur un bateau à Hawaï avec Dan Bilzerian où l’alcool coulait à flots? Pas du tout! J’ai eu la fête la moins « sex, drugs and rock’n’roll » que vous pouvez vous imaginer.
Il y a deux ans, j’ai acheté un bébé hamster « winter white » que j’ai nommé Bouboule. Je sais, je dégage le côté rock de Mötley Crüe mais, dans mon cœur, je suis Annie Brocoli. Vous pouvez le voir dans toute sa splendeur avec son regard naïf à gauche ou à droite de cette page, dépendant de la mise en page du magazine de ce mois-ci ou si vous lisez le magazine à l’envers.
Bouboule jouissait d’une grande cage qui se trouvait dans mon bureau. Chaque fois que je travaillais, il était près de moi en train de courir dans sa roue ou dormir paisiblement. Il n’avait pas une cage normale de hamster : moi, dans la vie, c’est tout ou rien! Et j’ai opté pour la première option. Il avait une gigantesque cage avec beaucoup trop de tuyaux colorés formant un labyrinthe, en plus d’une balançoire, une mini piscine et des roues de différentes grandeurs pour faire son cardio. Sans exagération, il avait l’air d’habiter à Dubaï. Si sa cage avait été à Montréal, elle aurait pu se louer au prix d’un 4 et demi.
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Crédit photo : Carl Thériault - www.carltheriault.com
